Les mécanismes d’adaptation agro-physiologique aux contraintes biotiques et abiotiques chez la symbiose rhizobia-pois chiche

Abstract

La connaissance de la biologie et la physiologie d’une plante et ses exigences écologiques est un préalable à la réussite de sa culture ; pour le cas du pois chiche qui présent comme les autres légumineuses une particularité physiologique en matière de la nutrition azotée. Le processus de la fixation d’azote exige une association entre la plante (les légumineuses) et les fixateurs dont elle est plus étroite et se traduit par la formation de structure plus élaborées qui sont des nodules, sous des conditions la plante fournit des éléments nécessaires à la bactérie qui en retour fixe l’azote. Ce processus naturel s’occupe des intérêts économiques et agronomiques ainsi écologiques. Quand on parle sur la fixation d’azote il faut toucher le point le plus sensible qui inhibe la symbiose c’est la déficience en phosphore et comme il est connu le phosphore est l’élément clef de la croissance des végétaux et joue un rôle principal dans la fixation de l’azote atmosphérique. Vu que les sols en Algérie sont pauvres en phosphore assimilable par la plante. Le présent travail vise à répondre à la question de résistance des génotypes par l’étude des paramètres de développement phénologiques afin de sélectionner les meilleures variétés. Un essai de pois chiche a été conduit en plein de champs au niveau de la commune de Boumedfaa la wilaya Aïn Defla avec un matériel végétal composé de six génotypes