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L’analyse des personnages dans « L’incendie de Mohammed Dib »

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BOU1269.pdf (302.1Kb)
Date
2010-01-01
Author
Boudjerida Loubna
Boussaha Hassane
Metadata
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Abstract
Omar, que ses dix ans «plaçaient entre les gaillards du cours supérieur et les morveux du cours préparatoire», rançonne quotidiennement ces derniers pour ne pas mourir de faim. Il vit avec sa mère, Aini, ses deux sœurs et la grand-mère impotente (invalide) à Dar-Sbitar, la «grande maison», l’habitation du pauvre. Dar-Sbitar qui avait servi d’hôpital (Sbitar en Sabir), est une vaste demeure avec patio (cours) central où s’entassent plusieurs familles. Mais Omar passe le plus clair de son temps dans la rue comme tous les enfants aux «membres d’araignées, aux yeux allumés de fièvre», dont regorge Tlemcen. Un matin, Dar-Sbitar bourdonne comme une ruche: la police recherche Hamid Saraj, homme cultivé et respecté de tous. Trouver de quoi manger occupe toutes les énergies. Chaque jour, à l’heure des repas, la tension monte dans la chambre qui tient lieu de logis à la famille d’Aini: une maigre soupe, souvent sans pain et parfois rien. Le jeudi, l’opulente tante Lalla apporte quelques croûtons de pain. Zhor, belle adolescente voisine d’Omar, a vu la police arrêter Hamid Saraj. Les commentaires reprennent. Les femmes, maîtresses de Dar-Sbitar pendant la journée, emplissent les lieux d’un flot incessant de paroles. Pour s’en sortir, Aini doit faire de la contrebande et risque la prison. Un panier rempli de victuailles (provisions) offert par un lointain cousin déclenche une euphorie (gaieté) chez Aini qui se répand bientôt dans toute la grande maison. La grand-mère mourante emplit la nuit de ses plaintes douloureuses. Les bruits de guerre se précisent et les rues de Tlemcen se remplissent d’une foule agitée, avide de nouvelles. Omar a la sensation d’avoir grandi, de comprendre ce que c’est d’être un homme. »
URI
http://hdl.handle.net/123456789/12281
Collections
  • Master 2 lettres et langue Française [19]

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